A ma sœur,
N’as tu donc pas compris,
Que la vie est sans prix !
Plutôt que de pleurer,
Tes instants malheureux,
De te rendre malade,
Débitant tes salades,
Tu dis personne ne m’aime,
Connais-tu donc la haine ?
Regarde au fond de toi,
Trouve-toi une voie,
Et puis ouvres les yeux,
Le monde est merveilleux.